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Programmation 2024

CONFÉRENCES

Quelques curiosités de la Côte-du-Sud

Gaston Deschênes,  historien

Le samedi 6 juillet 2024

Causerie et vernissage

Agnès Riverin, poétesse

Le dimanche 4 août, 14 h

La tête dans les étoiles, avec le télescope spatial James Webb

Jean-René Roy, astrophysicien

Le samedi 27 juillet 2024

Les routes des phares

Conférence de Lise Cyr, ethnologue

Le samedi 17 août 2024

Quelques curiosités de la Côte-du-Sud

Gaston Deschênes, historien

Des caburons? Une « mitaine »? Des aboiteaux? Des larmiers cintrés? Des granges « rondes »? Un père du drapeau? Des traces de raquettes dans un rocher? Et quoi encore!

La Côte-du-Sud offre plusieurs « curiosités », des raretés, des particularités, que Gaston Deschênes et Pierre Lahoud ont réunies dans un ouvrage qui peut servir de guide aux visiteurs qui veulent sortir des sentiers battus, du circuit des attraits touristiques classiques et des boutiques de souvenirs.

Gaston Deschênes

LE CONFÉRENCIER Titulaire d’une maîtrise en histoire de l’Université Laval, Gaston Deschênes a fait carrière à l’Assemblée nationale. Il a signé plusieurs livres sur le Parlement, dont deux ouvrages de prestige et un recueil d’articles intitulé Le Parlement de Québec, histoire, anecdotes et légendes. Parallèlement, il a publié plusieurs ouvrages sur la Côte-du-Sud, dont L’Année des Anglais, Le mouvement patriote sur la Côte-du-Sud, Curiosités de la Côte-du-Sud et Un pays rebelle. L’Action nationale lui a décerné le prix André-Laurendeau en 2013 pour son article « La Côte-du-Sud rebelle (1775-1776) ».

Le samedi 6 juillet, 14 h

10$ membre/ 15$ non-membre

Causerie et vernissage

Agnès Riverin,poétesse

Quelle place l'écrit prend-il dans ma recherche visuelle? Traces, mots épars inscrits, phrases et textes déclencheurs de réflexion entre mots et image, comment se sont-ils installés dans mes œuvres picturales et photographiques ou dans mon parcours en art public?

Le destin croisé du dessin vers l’écriture dès les balbutiements du langage fait partie des premières traces porteuses de sens laissées par l’être humain. Partant du dessin, il est alors simple de faire le pas inverse et d’aller vers la lettre, le mot ou le texte. Et en art actuel, ceux-ci constituent parfois une forme, donnent des indications ou au contraire brouillent la signification ou la contredisent. Pour ma part, l’introduction du texte, principalement de la poésie, s’est installée graduellement il y a plus de quarante ans. D’abord, les pictogrammes, idéogrammes, hiéroglyphes et écriture cunéiforme, je me suis intéressée à leur évolution. En les introduisant dans mes œuvres picturales, je m’amusais à écrire une signification cachée, un sous-texte. Plus tard, à l’aube de la publication de mon premier recueil de poésie, les mots prirent possession de l’espace de travail au même titre que les outils, les médiums ou les supports. Dégagés du dessin, totalement assumés, ils se sont installés en miroir, en porte-à-faux ou en dialogue. Énigmatiques même pour moi, je les ai laissés être en toute liberté.

Cette causerie est une gracieuseté de
L’Union des écrivaines et écrivains québécois.

Le dimanche 4 août 2024, 14 h

Gratuit

La tête dans les étoiles,
avec le téléscope spatial James Webb

Jean-René Roy, astrophysicien

Après trois décennies de travail de conception et de fabrication par la NASA, l’ESA et l’ASC, le télescope spatial James Webb a été lancé le 25 décembre 2021.  Deux semaines après son décollage, il était en place à 1,5 millions de km de la Terre. Les premières images sont entre les mains des chercheurs.  Les astronomes ont publié plusieurs résultats de leurs observations, soulevant d’intrigantes questions sur l’origine des galaxies et jetant de la lumière sur la nature et la composition des exoplanètes.

 

Je ferai un survol rapide du JWST pour montrer comment il se distingue du Télescope Spatial Hubble et des autres télescopes au sol.  Je montrerai les bénéfices et les défis d’observer le cosmos à l’aide de ce nouveau télescope.

 

Je commenterai quelques images représentatives et je présenterai ce que je considère les « surprises », et aussi ce qui était attendu.

Photo Jean-René Roy

LE CONFÉRENCIER Jean-René Roy est astrophysicien. Il a travaillé dans plusieurs observatoires et instituts de recherche aux États Unis, en Australie, au Canada, aux Pays-Bas, en France et en Allemagne. Après avoir été professeur au Département de physique de l’Université Laval de 1977 à 2000, il a été à la direction de l’Observatoire international Gemini à Hawai’i et au Chili de 2000 à 2009. Il a œuvré au Large Facilities Office de la National Science Foundation dans la gestion des grandes installations scientifiques des États Unis de 2009 à 2011. En 2011-2012, il fut en poste au Space Telescope Science Institute (à Baltimore) qui gère le fonctionnement des télescopes spatiaux Hubble et James Webb. Ses domaines de recherche ont été les phénomènes éruptifs du Soleil, les processus d’enrichissement et de mélange des nouveaux éléments dans le milieu interstellaire, et l’évolution des galaxies. Plus récemment, il s’est intéressé aux problèmes reliés à la gouvernance et à la gestion des grandes infrastructures et laboratoires de recherche. Il écrit sur la science, son histoire et son impact sur la société.

Ouvrage récent

Trente images qui ont révélé l’univers,
Presses de l’Université Laval & Hermann Éditeur, 2019

Le samedi 27 juillet, 14 h

10$ membre/ 15$ non-membre

Les routes d'un phare
 

Lise Cyr, ethnologue

Cette causerie s’adresse à tous les amoureux du fleuve, de l’estuaire et du golfe du Saint-Laurent qui ont envie d’en apprendre plus sur les phares, sentinelles maritimes depuis plus de deux siècles. Elle propose un parcours de visite où seront abordés des thèmes comme l’histoire, l’architecture, l’évolution technologique, les anecdotes, les particularités et la vie des gardiens et de leur famille. Automatisés dans les années 1980, les phares ont perdu de leur importance pour la navigation commerciale et ont été remplacés par des tours à claire-voie et peu à peu par des systèmes sophistiqués de géo-localisation. Cependant, ils constituent encore des amers utilisés par les pêcheurs côtiers et les plaisanciers. Plusieurs phares ont été abandonnés par les gouvernements, mais plusieurs d’entre eux ont su résister et montent fièrement la garde aux abords de ce plan d’eau majestueux et indompté qu’est le Saint-Laurent.

 

Cette conférence vous convie à la découverte des 44 phares encore en place dans l’est du Québec. L’itinéraire présente d’abord les douze phares situés sur la rive nord du Saint-Laurent, du Cap Saumon jusqu’à la Petite-Île-au-Marteau en passant par les sept phares d’Anticosti. On va ensuite parcourir la Côte Sud, du Pilier de pierre jusqu’à Cap des Rosiers, les phares de jalonnement de la Côte dans la Baie-des-Chaleurs et ceux des Îles-de-la-Madeleine.

LA CONFÉRÉNCIÈRE Lise Cyr détient une maîtrise en ethnologie de l’université Laval à Québec. Elle a également poursuivi des études en cinéma et dirigé une compagnie de production cinématographique durant quelques années. Sa carrière est riche d’expériences multiples et diversifiées : recherches ethnologiques, cinéma et muséologie. Elle a enseigné le cinéma de 1980 à 1985 avant de joindre les rangs de Parcs Canada où elle a occupé des postes de conservatrice, de réalisatrice et finalement de chargée de projets en muséologie pour la trentaine de sites de Parcs Canada au Québec. Au cours des 30 dernières années, elle a été responsable de la mise en valeur d’une dizaine de phares aux abords du Saint-Laurent. Elle continue de s’impliquer à leur sauvegarde au sein de la corporation des gestionnaires de phares du golfe et de l’estuaire du Saint-Laurent.

Le samedi 17 août , 14 h

10$ membre/ 15$ non-membre

GastonD
Etoile
Causerie
Phare

Voici le dépliant imprimable ci-dessous :

Réservation nécessaire pour la plupart des activités:   418-884-4081 ou info@pointedesaintvallier.com

Domaine Pointe-de- Saint-Vallier

DOMAINE  
POINTE 
DE SAINT-VALLIER

Le domaine... une pointe,

un fleuve; un manoir, une histoire.

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